« P. "Poppy" Schoonmaker »
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| Sujet: (M/LIBRE) ANDREW GARFIELD - j'en reviens pas qu'elle m'ait fait croire que tu étais mort. Ven 22 Juin - 17:10 | |
| « Callahan. Prénom2. Schoonmaker. » FEAT. ANDREW GARFIELD NOM ♦ schoonmaker ; PRENOM(s) ♦ callahan prénom² ; AGE ♦ 25 ans ; GROUPE ♦ au choix CRÉDITS ♦ tumblr et fanpop ;
PIRE DÉFAUT ♦ patriote ; MEILLEURE QUALITÉ ♦ courageux ; LA QUALITÉ QU'IL ESTIME LE PLUS ? ♦ franchise ; LE DÉFAUT QU'IL NE SUPPORTE CHEZ PERSONNE ? ♦ superficialité ; DÉCRIVEZ-NOUS SON AMI IDÉAL ♦ à l’écoute, souriant, attachant, drôle, de bons conseils ; DÉCRIVEZ-NOUS SA FIANCEE IDÉALE ♦ une fille qui le laisse être militaire malgré les nombreux risques du métier et qui accepte de l’attendre quand il est en déplacement, restant fidèle ;
Story EXTRAIT DE FICHE : - Spoiler:
SHEFFIELD – 1997. Cette ville est connue pour être très boisée. C’est là que vit la famille Schoonmaker. Le couple ne compte plus les compliments qui leur sont faits sur leurs enfants. En effet, Callahan et Penelope sont connus pour être exemplaires. Bien qu’ayant trois années de différence, ils sont très proches l’un de l’autre au point de susciter beaucoup de questionnement. « Call ! Poppy ! Il faut se mettre à table ! » Les deux enfants étaient tranquillement en train de jouer, perchés en haut d’un arbre de leur jardin dans leur cabane en bois. Ils jouaient rarement l’un sans l’autre à la maison. Bien que tous jeunes (7 ans pour Penelope et 10 ans pour Call), ils se conseillaient et partageaient beaucoup l’un avec l’autre. Etait-ce l’envie de continuer à jouer ou la distance qui les empêchait d’entendre leur mère ? Seuls eux le savent…
Ce n’est qu’au bout de quelques minutes qu’ils vinrent finalement s’installer à table calmement, comme si c’était normal. « C’est à cette heure-ci que vous venez ? Un peu plus et j’appelais la police pour fugue. » Les quatre membres de la famille se mirent à rire. « Nous n’avions pas vu l’heure, Papa. » Alors qu’il s’était servi préalablement, Call servit sa sœur sans lui demander ce qu’elle voulait. Il la connaissait tellement bien qu’ils n’avaient souvent pas besoin de se consulter pour ce genre de choses. « Tu es invitée à l’anniversaire de Marnie samedi prochain. » Tout en mangeant, Poppy releva la tête en direction de sa mère. « Tu aurais une idée pour le cadeau ? » « Non… Je ne veux pas y aller… » « Et pour quelle(s) raison(s) ? » « Elle n’a pas invité Callahan alors que c’est lui son copain. » Vous l’aurez compris, ils étaient tellement dépendants l’un de l’autre que les activités seul de leur côté étaient quasiment inexistantes. Cette proximité inquiétait énormément les parents qui voyaient en cela une menace. Les gens allaient se poser bien trop de questions si cela restait ainsi quand ils seraient plus grands.
SHEFFIELD – 2004. Madame Schoonmaker était inquiète au sujet de Poppy et Call. Les rumeurs allaient bon train, les gens allaient jusqu’à parler d’inceste. A présent âgée de 14 ans, Penelope savait parfaitement ce qu’elle faisait et il était clair que ce n’était pas ce que pensaient le voisinage. Certes, Callahan était indispensable à sa vie mais de là à avoir une relation avec son frère, il ne fallait pas abuser. C’était sans aucun doute leur jalousie et leur possessivité quand l’autre avait quelqu’un dans sa vie qui venait causer le trouble.
La mère attendait patiemment son époux dans le salon. Elle avait déjà largué la bombe à Poppy qui avait aussitôt fondu en larmes. Elle était inconsolable depuis plusieurs heures. Allongée dans son lit, Call était à ses côtés, tourmenté de voir sa sœur dans un tel état. Une fraction de seconde, elle ne pleura plus. Call saisit l’occasion pour la relever. Il la força à le regarder et la tint par les épaules en la secouant légèrement. « Bordel ! Tu vas me dire ce qu’il se passe tout de suite, Poppy ! Ca me rend dingue de te voir dans cet état. Qu’y a-t-il ? » Simultanément, le père rentra à la maison. En arrivant dans le salon, il aperçut sa femme, un air grave au visage. Il posa son attaché-case sur la table au coin du canapé et s’asseya à côté de son épouse. Il lui prit les mains et attendit qu’elle se décide à parler. « J’ai inscrit Poppy à un internat aux Etats-Unis. Elle ne peut plus rester si proche de Callahan. Ca va mal finir, c’est malsain… » L’homme sembla étonné tout comme profondément blessé. « Et tu as pris cette décision sans m’en parler au préalable ! Je pensais avoir un peu plus d’importance dans cette famille tout de même. Ne comprends-tu pas que c’est exactement ce que veulent les autres ? C’est en l’envoyant ailleurs que tu confirmes, d’une certaine façon, cette relation incestueuse qu’on leur prête ! » Au même moment, Callahan dévala les escaliers avec rage. « Comment as-tu pu faire une chose pareille ? Tu n’avais pas le droit de me faire ça ! Tu te rends compte que tu viens de me faire mal autant qu’à elle ! Je te préviens, Maman, dès qu’elle sera partie, je quitte la maison également. » Poppy était postée sur la dernière marche de l’escalier. Elle tenta de rattraper Call quand il remonta dans sa chambre mais elle n’y parvint pas. Il était bien trop furieux pour cela. Résignée, elle alla voir ses parents dans le salon. « Quand dois-je partir ? » « Tu as un vol prévu demain à Leeds-Bradford pour 15 heures 30. » En leur tournant le dos, elle répondit. « Bien, je serais prête. Par contre, ne vous attendez pas à me revoir non plus. Vous me chassez, j’ai bien compris la leçon et je ne reviendrais pas. » Ces mots résonnèrent dans la tête de Madame Callahan mais elle ne changea pas d’avis pour autant. Pendant six ans, elle tenta de renouer le contact avec Poppy mais elle ne lui répondit jamais.
Callahan et Penelope sont frère et sœur. Le jeune homme est de trois ans l’aîné de sa sœur. Entre eux, ça a toujours été fusionnel au point de susciter certains soupçons chez les voisins. En effet, quand ils furent adolescents, beaucoup ont cru qu’ils avaient une relation amoureuse alors qu’ils étaient du même sang. Leur mère ne supportant plus la situation a décidé d’envoyer Poppy loin de la maison. Peu après son départ, Callahan s’est enrôlé dans l’armée anglaise. Il y a neuf mois, il a été déclaré à Poppy que son frère était mort au combat en Irak. Elle a eu énormément de mal à s’en remettre. Il était sa seule famille car elle ne parle plus à ses parents depuis qu’elle a été chassée. Comment réagira-t-elle quand elle découvrira que sa mère lui en a menti en lui envoyant une lettre annonçant la mort de Callahan ? |
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« Callahan J. Schoonmaker »
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| Sujet: Re: (M/LIBRE) ANDREW GARFIELD - j'en reviens pas qu'elle m'ait fait croire que tu étais mort. Sam 23 Juin - 21:12 | |
| Ton scénario étant génial, je n'ai pas pu résister. Me voilà donc |
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« P. "Poppy" Schoonmaker »
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| Sujet: Re: (M/LIBRE) ANDREW GARFIELD - j'en reviens pas qu'elle m'ait fait croire que tu étais mort. Dim 24 Juin - 16:10 | |
| AHON mon frèrot !! GÉNIAL. Merci de tenter le scénario en tous les cas. Hâte de jouer leurs retrouvailles |
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| Sujet: Re: (M/LIBRE) ANDREW GARFIELD - j'en reviens pas qu'elle m'ait fait croire que tu étais mort. | |
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